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De l'ETH au SOL : Pourquoi les L1 finiront-elles par perdre face au Bitcoin ?

L’article explore la compétition entre Bitcoin (BTC) et les blockchains de niveau 1 (L1) comme Ethereum (ETH) et Solana (SOL) pour le statut de « cryptomonnaie » suprême. Actuellement, 81 % de la capitalisation du marché crypto (3,26 billions de dollars) est dédiée à des actifs perçus comme monétaires, dont 55 % pour le Bitcoin seul. Les L1 sont évalués selon trois cadres : prime monétaire, valeur économique réelle (REV) et demande de sécurité économique. Cependant, les données montrent que leurs valorisations sont de moins en moins guidées par les revenus (en baisse depuis 2022) et de plus en plus par une anticipation de prime monétaire. Pourtant, depuis fin 2022, la majorité des L1 (8 sur 10) ont sous-performé par rapport à Bitcoin. Seul Solana (SOL) a surperformé (+87 %), mais cela coïncide avec une croissance phénoménale de son écosystème (hausse de près de 3 000 % du TVL, des frais et du volume d'échange). L’auteur conclut que pour justifier une prime monétaire face au Bitcoin, un L1 doit afficher une croissance extrême – bien supérieure à ce que la plupart peuvent atteindre. Sans croissance économique réelle, le récit monétaire des L1 s’affaiblit face à la domination persistante de Bitcoin. La tendance devrait se poursuver : les L1 continueront de perdre des parts de marché, car Bitcoin renforce son statut de valeur refuge numérique suprême.

coinvoiceHier 04:14

De l'ETH au SOL : Pourquoi les L1 finiront-elles par perdre face au Bitcoin ?

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Les deux leaders du prêt sur Solana se déchirent, la Fondation intervient pour apaiser les tensions

Résumé de l'article : Un conflit a éclaté entre Jupiter Lend et Kamino, les deux principaux protocoles de prêt sur Solana, concernant la conception et la communication autour de l'isolement des risques (risk isolation) de Jupiter Lend. L'origine du litige remonte à août, lorsque Jupiter a présenté son produit de prêt comme ayant des pools « isolés », sans risque de contamination croisée, avant de supprimer ces messages. En réalité, Jupiter Lend permet le rehypothecation (réutilisation des collatéraux déposés dans d'autres pools), ce qui, selon Kamino, crée un risque de contagion et constitue une information cruciale non clairement divulguée. Le 6 décembre, un cofondateur de Kamino a publiquement critiqué Jupiter Lend pour cette « fausse représentation », bloquant même l'outil de migration vers Jupiter Lend. La communauté s'est divisée : certains accusent Jupiter de publicité trompeuse, tandis que d'autres défendent son modèle, jugant l'attaque de Kamino motivée par la concurrence. Le débat central porte sur la définition de « l'isolement des risques ». Jupiter argue que son modèle offre une certaine isolation avec une efficacité capitalistique, tandis que Kamino considère que toute réutilisation des collatéraux invalide complètement le terme. Le fonds Multicoin, investisseur de Kamino, a intensifié la polémique en qualifiant les actions de Jupiter « d'incompétentes ou malveillantes ». Pour apaiser les tensions, la présidente de la Solana Foundation, Lily Liu, a appelé à la concorde, soulignant que le marché du prêt sur Solana (5 Mrd $) est bien plus petit que celui d'Ethereum et des finances traditionnelles, et que la coopération est préférable à la lutte interne. Ce conflit, exacerbé par un marché en contraction et une baisse de la TVL globale sur Solana après les turbulences d'octobre, marque une intensification de la concurrence en mode « jeu à somme nulle » entre les deux leaders de la finance décentralisée (DeFi) sur la blockchain.

Odaily星球日报Hier 05:16

Les deux leaders du prêt sur Solana se déchirent, la Fondation intervient pour apaiser les tensions

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STABLE, le « fils chéri » de Tether, déraille ? Une chute de 60 % le premier jour, des baleines qui trichent et l'absence des CEX déclenchent une panique de confiance

Le projet Stable, présenté comme le « fils prodige de Tether », a lancé son réseau principal et son jeton STABLE le 8 décembre, mais a connu un départ difficile. Malgré des dépôts anticipés dépassant 13 milliards de dollars et un fort intérêt initial, le jeton a chuté de 60 % dès le premier jour, atteignant un minimum de 0,015 dollar. L’absence de listage sur les grandes plateformes d’échange (CEX) comme Binance a limité sa liquidité et accru les craintes des investisseurs. Des soupçons de trading privilégié ont émergé après qu’un portefeuille « baleine » a déposé des millions de USDT avant l’heure officielle, sans réponse claire de l’équipe. Stable se distingue en utilisant l’USDT comme frais de transaction natifs, visant une expérience sans friction, et repose sur un mécanisme de consensus StableBFT pour des transactions rapides et irréversibles. Cependant, son modèle économique présente des risques : 50 % des 1000 milliards de jetons sont alloués à l’équipe et aux investisseurs, avec un an de cloaking puis un déblocage progressif. De plus, STABLE sert uniquement à la gouvernance et au staking, sans utilité pour les frais réseau, ce qui limite son attractivité à court terme. Stable affronte une concurrence intense dans les chaînes de paiement stablecoin, face à des acteurs établis comme Polygon, Tron, ou Solana, ainsi que de nouveaux projets spécialisés comme Arc (porté par Circle) ou Tempo (soutenu par Stripe). Son succès dépendra de sa capacité à exécuter rapidement son calendrier, notamment l’intégration institutionnelle et le développement de son écosystème d’ici mi-2026, dans un marché où la confiance et l’exécution technique sont primordiales.

marsbitIl y a 7 h

STABLE, le « fils chéri » de Tether, déraille ? Une chute de 60 % le premier jour, des baleines qui trichent et l'absence des CEX déclenchent une panique de confiance

marsbitIl y a 7 h

Débat haussier et baissier : La barrière de rentabilité du leader des stablecoins, CRCL, est-elle solide ?

La société Circle (NYSE: CRCL), émettrice de la stablecoin USDC, fait l'objet de vifs débats quant à la solidité de son modèle économique et sa valorisation boursière. Malgré une forte croissance des revenus au T3 2025 (+66% sur un an) et une capitalisation boursière de USDC en hausse de 108%, son action a chuté après la publication des résultats. Les détracteurs, comme Jiang Zhuo'er, pointent la dépendance excessive aux taux d'intérêt et la structure défavorable des redevances versées aux distributeurs (notamment 61% des profits reversés à Coinbase). Ils comparent CRCL à une banque dont la profitabilité serait vulnérable en période de baisse des taux et face à une éventuelle concurrence agressive de géants traditionnels comme JPMorgan. Les partisans, tels que BTCdayu et qinbafrank, y voient au contraire une opportunité structurelle à long terme. Ils comparent sa stratégie à celle d'Amazon ou Pinduoduo : des pertes initiales pour conquérir le marché et construire un effet de réseau irréversible. Ils estiment que la conformité réglementaire de USDC est un fossé concurrentiel et que sa croissance future (potentiellement des milliers de milliards de dollars) compensera largement la baisse des taux. D'autres, comme Phyrex_Ni, soulèvent des obstacles pratiques, comme le traitement fiscal défavorable des USDC aux États-Unis, qui entrave son adoption pour les paiements de détail. En résumé, les baissiers se concentrent sur les risques à court terme (taux, dilution, coûts), tandis que les haussiers parient sur le potentiel à long terme de la stablecoin comme infrastructure de paiement mondiale et sur les avantages durables de sa conformité.

比推Il y a 5 h

Débat haussier et baissier : La barrière de rentabilité du leader des stablecoins, CRCL, est-elle solide ?

比推Il y a 5 h

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